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création de dioramas époque guerres Napoléoniennes pour mettre en scène figurines de collection (FIRST LEGION)

04 Oct

août 1813 - Campagne d'Allemagne

Publié par artmabigor

……les montagnes de Bohème bordaient l'horizon...............les coalisés (russes, prussiens, autrichiens) malgré de nombreux morts et blessés avaient été repoussés, mais non vaincus.

Malgré ce carnage horrible, au point du jour, il fallait donc recommencer à se battre ……….

août 1813 - Campagne d'Allemagne
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A
merci Kris et Jean-Lo pour vos commentaires qui traduisent très bien "le message" que je souhaitais faire passer au travers de cette photo..: il faut pas oublier que ces batailles étaient une vraie boucherie...@+ Guy.
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F
très bon sujet de l'après bataille. pour une fois ce ne sont pas les vivants à l'honneur!!<br /> et encore très jolie photo<br /> JL
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K
Bonjour Guy,<br /> <br /> Un beau travail épuré. Une seule image qui en dit beaucoup. Un soleil qui ne s’est pas levé pour tout le monde. Une aube qui fut le crépuscule pour certains.<br /> <br /> Un tableau au grand pouvoir évocateur sur cette « boucherie héroïque », comme l’avait si bien décrit Voltaire dans ce bel oxymore, qu’est la guerre. (Voltaire, Candide, chap. III). Un tableau qui m’a rappelé également le pouvoir évocateur de Prosper Mérimée dans L'enlèvement de la redoute. Cette nouvelle, que vous connaissez sans doute, inspirée de l’épisode de la prise de la redoute de Schwardino (transformée en Chevardino par Mérimée) relate à travers le personnage d’un jeune lieutenant le carnage auquel donna lieu la prise de la redoute : « J’étais entouré de blessés et de morts. Mon capitaine était étendu à mes pieds : sa tête avait été broyée par un boulet, et j’étais couvert de sa cervelle et de son sang. De toute ma compagnie, il ne restait debout que six hommes et moi. » A la fin des combats, le jeune lieutenant se retrouve commander un régiment en tant que « plus ancien » devant l’hécatombe dans les rangs des officiers. Il est possible que ce récit lui ait été en parti inspiré par le témoignage de son ami Stendhal qui participa à la campagne de Russie. A son retour ce dernier écrivit ses mots à sa sœur « J'ai eu beaucoup de peines physiques, nul plaisir moral mais tout est oublié et je suis prêt à recommencer pour le service de Sa Majesté. » Ce qu’il fit en participant à la campagne d’Allemagne de 1813.<br /> <br /> Comme vous le voyez votre travail est une belle source de réflexion.<br /> <br /> Amitiés napoléoniennes,<br /> Kris
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